Consultation / Tarifs
La consultation
Les tarifs
- Entretiens individuels : 60 € (1h)
- Couples : 80 € (1h30)
- Familles : 80 € (1h30)
Règlement par chèque ou espèce.
Possibilité de prise en charge partielle par certaines mutuelles.
TOUTE SEANCE ANNULEE MOINS DE 48H A L’AVANCE EST DUE.
Carine WELSCH
06 67 87 83 80
Mon cabinet
Adresse
Je vous accueille dans mon cabinet à Charbonnières-les-Bains, un espace privilégié pour nos échanges.
Le cabinet, qui regroupe aussi plusieurs spécialistes paramédicaux (coach/sophrologue, ostéopathe et naturopathe), est facile d’accès et dispose de places de parking.
L’entrée 104 se situe à l’arrière des bâtiments.
104, Route de Paris
69260 Charbonnières-les-Bains
Horaires
- Lundi : 9.00 – 19.00
- Mardi : 9.00 – 19.00
- Mercredi : 9.00 – 19.00
- Jeudi : 9.00 – 19.00
- Vendredi : 9.00 – 19.00
- Samedi : 9.00 – 12.00
Les rendez-vous se prennent par téléphone au 06 67 87 83 80.
Pour une prise de contact par écrit, vous pouvez également compléter ce formulaire de contact.
Questions fréquentes
Comment s’y retrouver dans les différents “psy” ?
Derrière le terme “psy” travaillent des personnes aux profils différents, que ce soit dans leur fonction et/ou dans leur formation.
Le psychiatre : c’est un médecin. Il a fait des études de médecine puis a effectué une spécialisation en psychiatrie. Il est le seul “psy” à être habilité à prescrire un traitement médicamenteux.
Le psychologue : il a fait des études universitaires de psychologie. Le Master 2 de psychologie lui donne le droit d’utiliser ce titre qui est règlementé. En France, les universités sont d’orientation freudienne et lacanienne pour la plupart.
Le psychanalyste : ce titre n’est pas règlementé. Cependant, beaucoup de psychanalystes sont médecins ou psychologues. Pour devenir psychanalyste, il faut faire soi-même une analyse personnelle supervisée par d’anciens psychanalystes durant au moins 7 ans et être reconnu par ses pairs (via des associations de psychanalystes).
Le psychothérapeute : ce titre est réglementé depuis 2004 (loi Accoyer). Seuls les médecins (même un généraliste) et les psychologues peuvent l’utiliser. C’est souvent le cas lorsqu’ils travaillent en cabinet libéral.
Le psychopraticien ou praticien en psychothérapie : ce titre n’est pas réglementé et est apparu en 2010 (date d’application de la loi Accoyer). Ce thérapeute a fait ses études de psychologie en école privée. Il n’est donc pas diplômé (public) mais certifié (privé). Il est aussi formé à la psychothérapie et a l’obligation de suivre une thérapie personnelle.
(Les praticiens seulement formés à un outil thérapeutique tel que l’hypnose, l’EMDR, l’EFT…mais sans formation en psychologie clinique utilisent parfois le titre de psychopraticien, ils ne rentrent donc pas dans la définition que je viens d’énoncer)
Au sujet de la loi Accoyer :
Cette loi a eu pour but de réglementer le titre et non la pratique de la psychothérapie puisqu’il a fallu renommer les psychothérapeutes n’étant ni médecins ni psychologues. Ils sont devenus “psychopraticiens”, un terme que personne ne connaissait à l’époque et qui est venu garnir de nouveau tout ce flot de “psy” pré-existant.
Cette situation est regrettable car elle ne mesure pas la qualité du travail effectué par les thérapeutes dans un accompagnement humaniste, relationnel et existentiel de la souffrance humaine.
Quelle différence entre une psychothérapie et du coaching ?
Le coaching est une démarche orientée sur les solutions, sur des buts à atteindre et des objectifs en allant chercher des ressources, des forces à l’intérieur de soi-même. Il est question de mettre en place des étapes pour arriver à un résultat en travaillant sur des solutions dans le présent et dans le futur, ou en retournant dans le passé mais très ponctuellement.
En psychothérapie, on travaille davantage sur la souffrance, sur les difficultés et les blocages. On explore en profondeur dans le vécu et l’expérience de la personne, dans son intimité. Il est question de revenir sur des évènements passés et les émotions qui y sont associées. Il s’agit aussi d’un accompagnement pour apprendre non seulement à mieux se connaître mais aussi à se reconstruire.
Qu’en est-il du secret professionnel ?
Le praticien de la psychothérapie est soumis au secret professionnel au sens déontologique du terme qui s’étend à tout ce qu’il a vu, entendu ou compris au cours de sa pratique. Si, pour des raisons thérapeutiques, il doit coopérer avec un autre thérapeute ou médecin, il ne peut communiquer d’informations qu’avec l’accord du patient.
Pourquoi j’utilise le terme “patient” et non “client” ?
Si le terme « patient » peut renvoyer l’image d’une personne malade, celui de « client » (employé dans les thérapies rogériennes ou en Gestalt thérapie) évoque une transaction commerciale un peu réductrice à mon sens.
J’ai choisi pour ma part la dénomination « patient » pour sa signification étymologique : le mot latin « patiens » fait référence à la souffrance qui est endurée par une personne.
Quelle est la durée d’une thérapie individuelle, de couple et familiale ?
Il n’y a pas de règle absolue en terme de durée dans la psychothérapie. Cela dépend des personnes, de leur rythme et de leurs problématiques. Les thérapies brèves sont naturellement plus courtes que les thérapies plus analytiques qui sont plus approfondies.
Toutefois, une thérapie de couple ou familiale se prolonge rarement au-delà d’une année. J’estime, dans une approche humaniste, que le couple ou la famille a, à ce stade, les ressources nécessaires pour se développer, pour être autonome en s’appuyant sur ses propres compétences.
En effet, sauf exception, si rien ne bouge au bout d’une dizaine de séances, il y a peu de chances que cela change par la suite.
Dois-je dérouler toute ma vie dès la première séance ?
Généralement, le premier entretien nous permet de faire connaissance, d’échanger sur le motif de votre démarche et vos attentes. Il m’aide également à mieux cerner en quoi je peux vous aider et à poser le cadre le mieux adapté.
Si vous éprouvez le besoin de parler, je vous laisserais le faire volontiers, cependant, je n’attends pas au premier entretien un résumé structuré de votre vie. Si au contraire parler de vous vous est difficile, mon travail sera de vous aider à prendre confiance en vous mais pas de vous y forcer. En résumé, le rythme de la thérapie reste le vôtre.
Comment se passe une première séance avec un adolescent ?
Je peux le recevoir seul dès le premier entretien mais à condition que les parents soient d’accord. Puis, un point peut être fait avec eux à la suite d’une ou plusieurs séances avec leur enfant.
Afin de créer un environnement sécurisant pour l’adolescent, nous nous mettons d’accord en début de thérapie sur ce qui sera partagé ou non avec ses parents.
En général, il s’agit plutôt pour moi d’exposer aux parents mes remarques et/ou mes inquiétudes concernant leur enfant et de proposer des moyens pour améliorer leurs relations si elles sont difficiles.
Un aménagement du prix des séances est-il envisageable ?
J’ai à coeur de rendre accessible la thérapie à un plus grand nombre de personnes et la question d’argent ne doit pas être taboue. Si vous traversez une période financièrement difficile, il est important de m’en parler si vous en éprouvez le besoin. Nous pourrons ajuster les modalités de paiement en fonction de vos possibilités.
Toutefois, je tiens à revenir sur l’importance de la justesse du prix des consultations qui est un instrument de la psychothérapie autant pour le thérapeute que pour le patient. En effet, du côté du patient, le règlement de ses séances contribue à son engagement et à sa responsabilité vis-à-vis de son propre travail thérapeutique, c’est-à-dire à son implication visant à son autonomie. Il minimise le lien de dépendance.
Du côté du thérapeute, il permet de ne pas utiliser son patient pour satisfaire ses besoins affectifs et narcissiques. C’est une barrière contre une toute-puissance éventuelle du thérapeute.
L’argent est donc le moyen d’assurer un rapport sain dans la relation thérapeutique.
Travaillons ensemble !
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